PAROLES album 3: Différent


ROCK STAR 

Fred CHARRIER / Angel SALAZAR 

 

Derrière le rideau, la pression s'élève 

Je courbe le dos, me sens comme une reine 

Ces gens pressés qui n'attendent que moi 

Ces bras levés qui se tendent de joie 

Ces mains frappent l'une et l'autre de mille éclats 

C'est pour çà 

 

A Rock Star, I wanna be a Rock Star 

Tel est mon destin 

wanna be a Rock Star 

Ces gens pressés qui n'attendent que toi 

Ces bras levés qui se tendent de joie 

Tel est mon destin 

wanna be a Rock Star 

 

Et sous mes draps chauds, là je me réveille 

J'étire mon dos, sors de mon sommeil 

Plus aucun bras levés autour de moi 

Que ma vie avec tous mes propres choix 

Ce sera dans mes rêves c'est bien comme çà 

Avec toi 

 

A Rock Star, I wanna be a Rock Star 

Tel est mon destin 

wanna be a Rock Star 

Ces gens pressés qui n'attendent que toi 

Ces bras levés qui se tendent de joie 

Tel est mon destin 

wanna be a Rock Star 

A Rock Star 

A Rock Star 

A Rock Star .... 


Dans ma bulle  

 

Fred et Kelvin CHARRIER / Angel SALAZAR

 

 

Quand mon enfant ouvre les yeux 

J’aurais aimé qu’il y voit mieux 

Que cette terre toujours en feu 

Que ce monde de miséreux  

J’aurais aimé qu’il y voit clair 

Et qu’il puisse y respirer l’air 

Que les images nucléaires 

Soient réservées aux milliardaires 

 

Oh Je suis dans ma bulle, et tout se bouscule 

Tout va changer grâce à toi 

Oh je suis dans ma bulle, tout n'est pas si nul oh oh 

Les oiseaux chantent autour de moi 

 

Quand mon enfant sort dans la rue 

J’aurais aimé qu’il n’y voit plus 

Toutes ces montagnes de détritus  

Qui font que les humains polluent 

J’aurais aimé qu’il voit l’oiseau 

Qui lui fait signe tout là-haut 

Et que sous les pas des badauds 

Il voit pousser des végétaux 

 

Oh Je suis dans ma bulle, et tout se bouscule 

Tout va changer grâce à toi 

Oh je suis dans ma bulle, tout n'est pas si nul oh oh 

Les oiseaux chantent autour de moi 

 

Quand mon enfant sera en âge 

De changer la terre en voyage 

J’aimerais qu’il prenne tous ses bagages 

Pour effacer tous les nuages 

De ma bulle je pourrais sortir 

Les gens ne pourront plus mentir 

Car aujourd’hui comme on respire 

On se construit notre avenir 

 

Oh Je suis dans ma bulle, et tout se bouscule 

Tout va changer grâce à toi 

Oh je suis dans ma bulle, tout n'est pas si nul oh oh 

Les oiseaux chantent autour de moi 


SUR LA POINTE DES PIEDS 

Fred CHARRIER / Jérôme SANIAL 

 

 

Refuser de voir cette force peu à peu la quitter 

Refuser de croire qu'elle ne marche que sur la pointe des pieds 

 

Elle dit que sa vie est belle 

Que son mal a permis des merveilles 

Que ses roues lui donnent des ailes 

Que la lutte a commencé 

Sur la pointe des pieds 

 

Résister ensemble et lutter contre la fatalité 

Résister au monde et trouver son accessibilité 

 

Elle dit que sa vie est belle 

Que son mal a permis des merveilles 

Que ses roues lui donnent des ailes 

Que la lutte a commencé 

Sur la pointe des pieds 

 

Guérir de ce corps et sortir vainqueur de ce combat 

Guérir l'avenir garder l'espoir avec vous elle y croit 

 

Elle dit que sa vie est belle 

Que son mal a permis des merveilles 

Que ses roues lui donnent des ailes 

Que la lutte a commencé 

Sur la pointe des pieds 


Le patriarche 

Fred CHARRIER / Xavier PESME
 

 

Il se lève avant l'heure 
Quand l'monde n'est que douceur 
Pour s’asseoir sur un banc 
Savourer son bonheur 
A cette heure matinale 
Des lectures peu banales 
Sur les guerres mondiales 
Plutôt original! 
 
Le dos voûté par les années 
Les traits creusés d'avoir aimé 
Cheveux blanchis par tant de vie 

Ses yeux sourient pour dire Merci 
 

Avide d’instruction  

Frissons sans déraison 

Du savoir, du pouvoir 
l'amour au bon vouloir 
Des malheurs, du bonheur, 

Partage sans avoir peur 

Des années, des passages 
sagesse au fil des âges 
 

Refrain 
 

Il se lève avant l'heure 

Pour nous dire son bonheur 

Pour nous dire qu'il nous aime 

Pour tous ces jours sans haine 

Mais quel beau Patriarche 

Peut bâtir une telle arche 

Et donner cet exemple  

Où famille est le centre? 

 

Il se lève avant l’heure… 


DIFFÉRENT 

Fred CHARRIER / Angel SALAZAR

 

L’intolérance que je croise chaque jour  

Et l’impuissance à prouver toujours  

Ma différence, et son univers autour  

Sans aucun sens font faire des détours  

 

Ouh.... je veux l’amour dans tes yeux  

Ouh... je vois l’amour dans tes yeux  

Mes faiblesses me blessent, m’oppressent, je sais que tu le peux  

 

Je vois les choses, comme tu ne peux pas les voir  

Je sais des choses, que tu ne sais pas  

L’apothéose, c’est quand j’exulte de joie  

Pas de demi-dose, mon corps entier bat 

 

Ouh.... je veux l’amour dans tes yeux  

Ouh... je vois l’amour dans tes yeux 

Mes faiblesses me blessent, m’oppressent, je sais que tu le peux 

 

Fais-moi confiance, et rejoins-moi dans ma bulle  

Tu verras mon monde est beau dans mes silences 

L’intelligence de ce monde où tout bascule  

A besoin de ce cadeau de toute urgence  

 

La différence est toujours inoffensive  

Et notre sang de même couleur vive  

Mon existence est ce monde qui va trop vite  

Droit de présence, c’est là que j’habite ! 

Ouh.... je veux l’amour dans tes yeux  

Ouh... je vois l’amour dans tes yeux 

Mes faiblesses me blessent, m’oppressent, je sais que tu le peux 

 

Stoppons le temps, regarde la vie dans mes yeux  

Tu verras comme je peux voir le merveilleux  

J’ai du talent, je ressens tout mais en mieux  

Je suis autiste, je suis artiste, je suis comme eux 


LA PLUPART DES MATINS 

Alain GIGNAC / Alain GIGNAC 

 

 

La plupart des matins, il fait la même routine 

Pour qu’à la croisée des chemins, ses pas se retournent vers l’usine 

En regardant le train, son esprit s’illumine 

Il rêve d’aller très loin de faire un job qui le fascine 

Mais comme il est sage, il reprend son courage 

Il sait qu’après l’orage faudra repelleter ses nuages 

Il ne veut pas faire la faute, il ne vit que pour les autres 

Il se sent comme un apôtre d’la chaîne de montage sur la côte 

 

Mais il rêve d’être un autre que celui qu’on a construit 

Mais il rêve d’être un autre que cet homme qu’on a détruit 

 

La plupart des matins, elle enfile son personnage 

Son petit sourire en coin malgré ses malheurs au quotidien 

Un paysage ingrat, des passants méprisants 

Elle refoule sa colère et calcule ses mouvements 

Du moment qu’elle se lève, elle oublie tous ses rêves 

Ses plaisirs sont en grève jusqu’à ce que son bonheur en crève 

Elle voudrait être ailleurs, vivre une vie meilleure 

Arrêter d’avoir peur, faire pousser l’amour dans son cœur 

 

Mais elle rêve d’être une autre, que celle qu’on a construite  

Mais elle rêve d’être une autre, que cette femme qu’on a détruite 

Mais ils rêvent d’être d’autres, que ceux qu’on a construits 

Mais ils rêvent d’être d’autres, que ces âmes qu’on a détruites 

 

Mais ils rêvent d’être d’autres, sauront-ils un jour franchir le pas du détour 

Passer du cauchemar au rêve, du malheur au bonheur 

D’invisible à visible, de la noirceur à la lumière 

De plus petits à plus grands et de personne à quelqu’un 

Mais ils rêvent d’être d’autres, sauront-ils un jour franchir le pas du détour 

Passer du cauchemar au rêve, du malheur au bonheur 

D’invisible à visible, de la noirceur à la lumière 

De plus petits à plus grands et de personne à quelqu’un 

De personne à quelqu’un, de personne à quelqu’un 

De personne à quelqu’un, de personne à quelqu’un 


MON ENFANT 

Fred CHARRIER  / Xavier PESME

 

Je t'ai porté pendant neuf mois, imaginé plusieurs années, 

Une boule d'amour au creux de moi, que je commençais à aimer, 

Comment seront tes petits doigts, tes jolis yeux, ton petit nez? 

Est-ce que tu me ressembleras, est ce que toi tu vas m'adorer? 

 

Mon enfant, mon enfant, 

Tu viens de moi, tu es ma vie, 

Mon enfant,  

Mon enfant, mon enfant, 

Tu viens de moi, tu es ma vie, 

Mon enfant 

 

Ton arrivée m'a bouleversé, tant de parents me comprendront, 

Toi cet enfant que j'attendais, qui fait vivre mes émotions, 

Qui sèches mes larmes de mère juste en prononçant ton prénom 

Et si tout était à refaire ce serait sans hésitation 

 

Mon enfant, mon enfant, 

Tu viens de moi, tu es ma vie, 

Mon enfant,  

Mon enfant, mon enfant, 

Tu viens de moi, tu es ma vie, 

Mon enfant 

 

Comment s'appelle ce sentiment, quel est ce lien particulier 

Qui fait qu'on aime son enfant, bien avant même qu'il soit né 

Tu as nourri mon inconscient, jusque dans mes rêves oubliés 

Tu me fais devenir maman, une si belle réalité 

 

Mon enfant, mon enfant, 

Tu viens de moi, tu es ma vie, 

Mon enfant 

Mon enfant, mon enfant, 

Tu viens de moi, tu es ma vie, 

Mon enfant 

 

Et aujourd'hui quand je te vois, si fragile et fort à la fois 

Je me dis que la vie sans toi, ne s'rait pas vraiment à l'endroit 

Alors profites de ce temps, que nous avons au fil des ans 

Pour grandir et aimer autant, que je t'aime! 

 

Mon enfant, mon enfant, 

Tu es de moi, tu es ma vie, 

Mon enfant 

Mon enfant, mon enfant, 

Tu es de moi, tu es ma vie, 

Mon enfant 

Mon enfant, mon enfant, 

Tu es de moi, tu es ma vie, 

Mon enfant 

Mon enfant, mon enfant, 

Mon enfant, mon enfant 

 


DIMITRI

Yvan CLOT / Fred CHARRIER / Yvan CLOT

 

Un petit homme s’en est allé, on voit bien qu’il a laissé

Sans le vouloir un seul instant, un vide plus grand que l’océan

Un vide à vous glacer le sang, un vide qui stoppe le temps

Un petit homme nous a légué, une leçon d’humanité

Pour qu’il reste dans nos cœurs, un peu d’espoir, une lueur

Une lueur pour le bonheur, pour éloigner de nous les peurs

 

Mais l'amour gravé entre ce père et son enfant

Restera figé malgré le temps

L'amour dévoué qu'il a donné sa vie durant

Le rendra plus fort pour son enfant

 

Un petit homme s’en est allé, il a trouvé la liberté

Loin de la terre où il est né, il est parti bien loin d’ici

Il est parti vivre une vie, s’il a trouvé son paradis

Pour un père ou une mère, les larmes tombent toujours à terre

Et il n’y a rien à faire, quand on vous arrache le cœur

Il ne reste que la douleur, on ne sent plus la chaleur

 

Mais l'amour gravé entre ce père et son enfant

Restera figé malgré le temps

L'amour dévoué qu'il a donné sa vie durant

Le rendra plus fort pour son enfant

 

On ne peut pas tout écrire, ce qui se passe et nous arrive

On a beau faire, on a beau dire, on a beau faire les choses arrivent

 

On les subit, on les maudit, on les subit Dimitri, Dimitri.


RESCAPÉ 

13/11/2015 21:40

Fred CHARRIER / Franck MILENA

 

 

Et le concert commence  

Avec perte et fracas  

Un rock de démence  

Qui devient notre état  

Quand je n'sais d'où ils entrent 

Et alors c'est l'effroi  

Donnant au mot violence 

Un caractère bien bas 

 

Je me sens comme happé  

Par ces lettres au grand corps  

Je me sens comme inquiet  

D'être vivant encore 

Je me vois tournoyer 

En tourbillon sonore 

Peuvent-ils me pardonner 

De piétiner leurs corps? 

 

Et les balles se déchaînent  

Sur ces corps sans voix  

Donnant toute leur haine  

Et tirant à tout va 

Écrasant de leurs chaînes 

Des vies de milles éclats 

Ne laissant pas de veine 

Et aucun cœur qui bat 

 

Je me sens comme happé  

Par ces lettres au grand corps  

Je me sens comme inquiet  

D'être vivant encore 

Je me vois tournoyer 

En tourbillon sonore 

Peuvent-ils me pardonner 

De piétiner leurs corps? 

 

Peuvent-ils me pardonner  

D'être vivant encore? 

Peuvent-ils me pardonner  

Je vais vivre, et alors? 

Je vais les emporter 

À jamais dans mon corps 

Je n'me tairai jamais  

Ce sera mon trésor ! 

 

Je me sens comme happé  

Par ces lettres au grand corps  

Je me sens comme inquiet  

D'être vivant encore 

Je me vois tournoyer 

En tourbillon sonore 

Peuvent-ils me pardonner 

De piétiner leurs corps? 

 

Je ne dis pas Merci 

De m'avoir épargné  

Je vis dans la folie  

Je suis un écorché  

Je n'vous ai pas trahi 

Je me suis relevé  

J'avance vers la vie 

Je vous dis à jamais ! 

 

Je me sens comme happé  

Par ces lettres au grand corps  

Je me sens comme inquiet  

D'être vivant encore 

Je me vois tournoyer 

En tourbillon sonore 

Peuvent-ils me pardonner 

De piétiner leurs corps? 

 


Tu ne m'as pas invité 

Fred CHARRIER / Angel SALAZAR

 

Tu es parti sans te tourner, j'avais 10 ans, je m'en souviens 

Sûre qu'une autre vie t'appelait, et moi je cachais mon chagrin 

Une page du livre s'est envolée, et toi déjà, tu étais loin 

Je n'ai pas pu te rattraper, t'as pas voulu tenir ma main 

 

Tu ne m'as pas invité, 

Dans ton autre vie, ton autre chemin,  

Tu me conjugues au passé,  

Est-ce que tu pensais à moi, quand tu étais loin 

Toujours plus loin 

 

Puis l'eau de ma vie a coulé, emportant ce radeau de toi, 

Je ne veux plus me retourner, pleurant sur mon bateau de bois, 

Emportant les vagues et l'écume, d'une vie que j'ai faite sans toi, 

Sortant peu à peu de la brume, je bâtirai mes jours comme çà 

 

Tu ne m'as pas invité, 

Dans ton autre vie, ton autre chemin,  

Tu me conjugues au passé,  

Est-ce que tu pensais à moi, quand tu étais loin 

Toujours plus loin 

 

Tu n'm'as pas non plus invité, le jour où tu as tout laissé, 

Ta vie d'avant, ta vie d'après, tout l'océan de tes regrets, 

Tu ne m'as pas laissé le choix: "Est-ce que je vais venir ou pas?" 

Tu es parti avec tout çà, Et moi encore, je reste là  car 

 

Tu ne m'as pas invité, 

Dans ton autre vie, ton autre chemin,  

Tu me conjugues au passé,  

Est-ce que tu pensais à moi, quand tu étais loin 

Toujours plus loin 


Le fardeau Féminité 

Fred CHARRIER / Franck MILENA

 

Je n'peux pas faire ce que je veux 

Boire deux, trois verres, sortir un peu, 

Voir les copains, faire la fiesta, 

Parait que ça ne se fait pas 

Et j'avoue que je les envie 

Ces mecs ils sont au paradis 

Moi je peux même pas rigoler 

Avec des gars trop éméchés! 

 

J'aurai aimé être un homme 

Etre entre potes, dire des blagues grasses 

Pas passer des heures devant ma glace 

J'aurai aimé être un homme 

Me sentir enfin libérée  

De ce fardeau Féminité! 

 

J'peux pas aller au cinéma 

Avec Arthur, Bernard, Thomas 

Sans qu'il n'y ait de préjugés 

Parait que ça ne se fait pas 

Suffit que je chante une chanson 

Avec Momo, Pierre ou Gaston 

Sans qu'on me passe la bague au doigt 

Des maris j'en ai tout un tas! 

 

J'aurai aimé être un homme 

Etre entre potes, dire des blagues grasses 

Pas passer des heures devant ma glace 

J'aurai aimé être un homme 

Me sentir enfin libérée  

De ce fardeau Féminité! 

 

Lorsque le monde sera parfait 

Les jugements laissés de côté 

Homme et femme se tiendront le bras 

Mais parait qu' çà ne se fait pas 

Un jour on pourra p’ t’être parler 

Comme des poules dans un poulailler 

Sans qu'on ne voit à nous épier 

Qu'une amitié asexuée! 

 

J'aurai aimé être un homme 

Etre entre potes, dire des blagues grasses 

Pas passer des heures devant ma glace 

J'aurai aimé être un homme 

Me sentir enfin libérée  

De ce fardeau Féminité  

De ce fardeau Féminité  

De ce fardeau Féminité! 


Drôle de rencontre

Fred CHARRIER / Angel SALAZAR

 

Dans la chaude moiteur de la nuit

Le voilà qui surgit, et me suit

Dans le sillage de mon parfum

Son souffle se mélange au mien

Il me tourne autours et me frôle

Je ne vois rien, je me sens drôle

 

Je continue ma course folle

Lui, à mes trousses qui s'affole

Je bats des bras pour le chasser

Pour échapper à ses baisers

Mais son étreinte devient pressante

Et sa présence envahissante

 

Ah ! Quelle drôle de rencontre ! Je m'en souviendrai

Vivement la fin de l'été, que je puisse souffler !

Ah ! Quelle drôle de rencontre ! Je m'en souviendrai

Vivement la fin de l'été, que je puisse souffler !

 

 

Je ne ferai pas de lui un ami

Son but est de finir dans mon lit

Pouvoir abuser tant qu’il voudra

Sentir la chaleur de mes draps

Dis donc la place est déjà prise

Je ne céderai pas à son emprise

 

Aura-t-il réussi cette nuit

A me charmer mais qu'aura-t-il pris ?

Quelques baisers presque indolores,

Un peu de liquide en mon corps ?

Je me réveille et je me gratte !

Moustique attends que je t’attrape !!!

 

 

2x Refrain


Le temps qui passe

Fred CHARRIER / Yvan CLOT

 

 

Dis-moi, maman,

Dis après quoi tu cours?

Serait-ce après le temps,

Serait-ce après l'amour?

Tu sais, ma fille

J'n'ai pas l'éternité

L'temps qui passe est fragile

Je dois te raconter

 

Le temps qui passe

Au-delà de la volonté

Le temps qui passe

Et qui nous donne envie d'aimer

Sans qu'on se lasse

Nous privant de nos libertés

Le temps qui passe

Sans que l'on puisse le rattraper

 

Voilà, maman,

Je l'connais ton discours

Le temps il faut le prendre

Mais vivre à fond toujours

C'est vrai, ma fille

J'arrêterai de courir

Mais tu sais que pour moi

Ne rien faire c'est mourir

 

Le temps qui passe

Au-delà de la volonté

Le temps qui passe

Et qui nous donne envie d'aimer

Sans qu'on se lasse

Nous privant de nos libertés

Le temps qui passe

Sans que l'on puisse le rattraper

 

Je sais, maman,

Ta vie elle est comme çà

Passer des vents violents

Mais être là pour moi

C'est ça, ma fille

On va à l'essentiel

Le temps qui rend fragile

Mais qui fait des merveilles

 

Le temps qui passe

Au-delà de la volonté

Le temps qui passe

Et qui nous donne envie d'aimer

Sans qu'on se lasse

Nous privant de nos libertés

Le temps qui passe

 

Sans que l'on puisse le rattraper